Dans une interview qu’il a accordé au Daily Mail, il a annoncé qu’il souhaitait par la même occasion promouvoir la technologie actuellement développée dans l’Université d’Oxford qui se veut directement rivaliser avec celle de Google – tant sur le prix que sur la fiabilité. Il a également officialisé la création d’un fonds de 10 millions de livres sterling pour développer une “ville test” pour faire cohabiter ces voitures connectées.
Le code de la route britannique datant de 1968 devrait donc inclure un nouveau paragraphe sur les véhicules sans chauffeur, qui permettrait à ces derniers de pouvoir circuler sur les routes, sous condition que le conducteur puisse le contrôler si besoin, voire l’arrêter.
S’inspirer des mesures californiennes
Actuellement, Google n’est autorisé à faire circuler ses voitures sans pédales ni volant uniqument dans son quartier général, à Mountain View. En revanche, la Californie est l’un de ces Etats qui accepte les voitures autonomes mais sous condition qu’elle possède tout de même un volant et des pédales. D’ici à quelques temps, la Californie souhaiterait même autoriser les voitures sans chauffeur. En attendant, c’est en septembre que le gouvernement de l’Etat devrait valider les premières licences automobiles pour les véhicules autonomes.
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